Ce 25 septembre 2013 : Edmonde Charles-Roux témoigne aux Archives de Marseille

Aux Archives municipales de Marseille
10 rue Clovis-Hugues 13003 Marseille
dans le cadre de  la remarquable exposition
"Ici-même ­ Marseille 1940-1944 »
 
venez écouter le témoignage de

 

Edmonde Charles-Roux

mercredi 25 septembre à 17h30

 

Edmonde Charles-Roux est, au cours de la Seconde Guerre mondiale, infirmièreambulancière volontaire, tout d'abord dans une unité de la Légion étrangère, le 11e régiment étranger d’infanterie. Elle est blessée à Verdun en portant secours à un légionnaire.

 

Ensuite, elle entre en Résistance, toujours comme infirmière. Après le débarquement de Provence, elle est rattachée ensuite à la 5e division blindée où elle exerce encore comme infirmière mais aussi comme assistante sociale divisionnaire. Elle a sous sa tutelle le 1er régiment étranger de cavalerie (1er REC) et le Régiment de marche de la Légion étrangère (RMLE).

 

Décorée de la Croix de guerre, avec plusieurs citations, elle est faite chevalier de la Légion d'honneur en 1945.  

 

Le Site-Mémorial du Camp des Milles

Le Site-Mémorial du Camp des Milles vous propose une visite:
 
Ouvert en septembre 1939 au sein d'une tuilerie située entre Aix-en-Provence et Marseille, le camp des Milles connut un peu plus de trois ans d'activité et vit passer plus de 10 000 internés originaires de 38 pays, parmi lesquels de nombreux artistes et intellectuels.

Accessible à tous depuis fin 2012, il abrite aujourd’hui un important musée historique, tourné vers l’Education et la Culture.

Le Site-Mémorial du Camp des Milles, un site patrimonial exceptionnel, à dimension nationale, européenne et internationale.

 

S’appuyant sur l’histoire du lieu, son action est destinée à renforcer la vigilance et la responsabilité de chacun face aux racismes, à l’antisémitisme et à tous les fanatismes.

Au cœur d’un site exceptionnel et d’un parcours muséographique inédit, nous vous proposons une visite autour de thématiques plurielles : l’histoire, la mémoire, les arts, l’éducation citoyenne, le patrimoine industriel…

                                   

 

 

 

Le pasteur Henri Manen : au Camp des Milles, "un Juste parmi les Nations"

9 août 1942, le manuscrit du Journal d'Henri Manen (archives famille Manen).

Le manuscrit du Journal d'Henri Manen (archives famille Manen).

Les éditions Ampelos d'Eric Peyrard ont publié en juillet 2013 un petit livre de première importance (60 pages, format 15 x 23 cm) "Au fond de l'abîme / Journal du Camp des Milles".

Cet ouvrage rassemble des écrits du pasteur Henri Manen qui eut à cœur de relater  plusieurs des événements survenus pendant l'été 1942 qui fut dans l'ancienne tuilerie la saison la plus tragique.

De précieux compléments accompagnent les écrits du pasteur : une préface très éclairante de l'historien du protestantisme et de la mémoire Philippe Joutard (1) ainsi qu'une postface d'Alain Chouraqui, Président de la Fondation du Camp des Milles.

Du 8 au 12 octobre: "La culture de l'Europe en exil à Marseille (1940-1944)"

Dans le cadre de  MARSEILLE-PROVENCE 2013

 

Marseille, à travers son histoire, apparaît comme une métropole culturelle internationale. La montée des régimes totalitaires, au début du XXe siècle, a fait de la Provence, de la Côte d’Azur, et de Marseille en particulier, un lieu de refuge provisoire pour les intellectuels, les artistes et les militants antifascistes, en provenance d’une Europe occupéeou en proie aux dictatures. C’est une foule désorientée, qui passe par Marseille à partir de , dans l’espoir d’unexil outre-atlantique, notamment vers les Etats-Unis ou le Mexique.

 
Les rencontres organisées en octobre , dans le cadre de Marseille-Provence, capitale européenne de la culture 2013, proposent une approche différenciée du phénomène de l’exil, du dynamisme marseillais, foyer d’accueil et de résistance de la culture de l’Europe en fuite. Elles rappellent que Marseille est aussi, malheureusement, à cette époque, une porte ouverte vers la déportation. Les étrangers sont internés dans des camps français (comme celui des Milles), les lois antisémites de Vichy introduisent une ségrégation raciale, qui prépare le terrifiant calvaire des populations juives.
 
Le travail de mémoire reste nécessaire, surtout auprès des jeunes générations, pour faire surgir de l’ombre les associations humanitaires et quelques figures emblématiques: Varian Fry, Daniel Bénédite et les membres du Centre Américain de Secours, pour l’exil des intellectuels vers les Etats-Unis, Gilberto Bosques, pour l’aide au départ des réfugiés vers le Mexique
 
- A la Bibliothèque de l’ALCAZAR,
- à la Cité des Associations,
- aux Archives Départementales
- et au Centré Régional de Documentation Pédagogique :

11 octobre 2013 : Journée d'Hommage au consul du Mexique à Marseille: Gilberto BOSQUES

Aux Archives Départementales des Bouches-du-Rhône:
 
Journée d'Hommage au consul du Mexique à Marseille: Gilberto BOSQUES

131011_Consul Gil Bosques_Les étrangers dans la Résistance Brochure 18 juillet-2

Les étrangers dans la Résistance

VILLA AIR-BEL années 40 un phalanstère d’artistes – Varian Fry et les Surréalistes

Dans les années 40, en zone encore dite « libre » se déroula l’histoire méconnue d’une bastide nommée Air-Bel au milieu du domaine Castellane dans le quartier de la Pomme à Marseille.
 
 
Son parc et sa villa y hébergèrent les intellectuels et artistes Surréalistes en attente d’un départ vers les Amériques sous la protection d’un journaliste américain, Varian Fry. 
 
Aujourd’hui détruite, la Villa a fait l’objet d’une enquête pour une restitution virtuelle des lieux et de son histoire d’exception.

 

Voir: http://museedelaresistanceenligne.org/media1697-La-villa-da

 

INVITATION Samedi 12 Octobre 2013

Centre Régional de Documentation Pédagogique, 31 bd d’Athènes, 13001 MARSEILLE

Colloque international

« VILLA AIR-BEL années 40 – Varian Fry et les Surréalistes »

Journée présentée par l’ENSA Marseille

dans le cadre de la semaine du 8 au 12 octobre sur le thème de 

« La culture de l’Europe en exil à Marseille (1940-1944) »

 

La Villa Air-Bel a été habitée entre 1940 et 1942 par les Surréalistes et les intellectuels candidats à l’exil, André Breton, Max Ernst, Wifredo Lam… sous la protection du Centre Américain de Secours animé par Varian Fry. Cette période d’exception a fait l’objet d’une restitution virtuelle pour faire revivre l’environnement et la vie quotidienne de ses protagonistes. 

 

14h00 Accueil du Public et des Participants par Alain Guyot 

14h15 Ouverture de séance et allocutions Sous l’égide du Consulat Général des États Unis d’Amérique et Marseille Provence 2013et la haute bienveillance d’Aube Elléouët-Breton, avec le soutien de l’association Varian Fry-France et de l’association France États-Unis, En coproduction avec From Design to Design  1

14h30 Prologue Présentation du colloque Villa Air-Bel 1940 par Augustin Giovannoni, philosophe« L’histoire d’un territoire » René Borruey, historien et architecte  

15h00 Thème 1 : Air-Bel, l’enquête
  • Alain Guyot enseignant-chercheur, Diana Pollin écrivaine, Julien Guyot designer media.

    « Air-Bel années 40 »

    « Les coulisses d’une reconstitution »

16h00 Thème 2 : Les surréalistes

  • Karine Szczépaniak plasticienne, Alain Paire écrivain.

    « La création surréaliste ‘sous contrôle’? »

    « Max Ernst 1937-1941»

17h00 Pause 

17h30 Thèmes 3 : La Cité et la Ville

  • Thierry Durousseau architecte historien, Sandra Lafont directrice du Centre Social Air-Bel, Maria Manuella Dos Santos plasticienne intervenante socio culturel dans l’ancien Foyer Marylise.

    « Genèse de la Cité Air-Bel »

    « Vie quotidienne dans la Cité

18h30 Épilogue par Augustin Giovannoni

  • « Fry et les surréalistes, quel héritage pour l’avenir d’Air-Bel ? »

18h45 … Vernissage de l’exposition et cocktail offert par l’association France-Etats-Unis

  • - Visite commentée par les enseignants et étudiants de l’ENSA Marseille, du Lycée Provence et du Lycée Jean Perrin.

    - Présentation de l’ouvrage « Villa Air-Bel 1940-1942, un phalanstère d’artistes » Alain Guyot et Diana Pollin, éditions La Villette//ENSA-Marseille, 2013.

  • - Inauguration officiellle du site internet   http://villaairbel1940.fr/

 

  • Ne manquez pas le film de la promenade virtuelle (8 min)qui nous emmène en 1940 sur les pas du Comité américain de secours qui découvre pour la 1ere fois le domaine de Castellane et le parc de la Villa Air-Bel (voix d'Alain GUYOT lors de la conférence du 12 octobre 2013). 
  • Contact : guyot.ensa.mrs@gmail.com

"Jean ZAY" au Théâtre Toursky à MARSEILLE le 17 octobre

“ Jean ZAY ”
la création théâtrale de l’oeuvre autobiographique de Jean ZAY
 
 
de Raymond Vinciguerra et Jean-Manuel Bertrand
par la Compagnie TETRA ART: http://tetra-art.com/
 
sera présentée en première le 17 octobre à 20 h 30
 
au
THÉÂTRE TOURSKY à Marseille
 
en présence de Patrick MENNUCCI, Député Maire du 1er secteur de Marseille,
et de
Madame Hélène Mouchard-ZAY, fille cadette de Jean ZAY,
 
présidente du CERCIL
(Musée-mémorial des enfants du Vél d'Hiv Centre d'histoire et de mémoire sur les camps dans le Loiret et la déportation juive)
 
et de nombreuses personnalités de la ville et de la région.
 
 

    - le catalogue de l’exposition itinérante “Jean Zay 1904-1944” créée par l’Association de Amis de Jean Zay (Paris)

   - la nouvelle édition DVD du filmDans la lumière de Jean Zay” par Marieke Aucante

JEAN ZAY - Raymond Vinciguerra - cie tetra art - le 17 octobre au Toursky CREATION

Jean-Manuel Bertrand et Raymond Vinciguerra le 17 octobre 2013 au Théâtre Toursky à Marseille.

Création
JEAN ZAY : UNE CRÉATION DE RAYMOND VINCIGUERRA
jeudi 17 OCTOBRE AU THÉÂTRE TOURSKY...

 

Ce spectacle, labellisé Marseille Provence 2013, capitale européenne de la culture,
sera créé au théâtre Toursky jeudi 17 octobre 2013 par la compagnie Tetra Art.

_____________________________________________________

JEAN ZAY / 1904 -1944 : Député à 27 ans, ministre à 31 ans, prisonnier politique à 36 ans, assassiné à 39 ans : l’itinéraire de Jean Zay est dense, fulgurant et tragique.

La Seconde Guerre mondiale, les crimes, la résistance. Cette période dramatique de notre histoire ne doit pas être occultée. Une plongée indispensable dans la vie et l'œuvre d'un homme : Jean Zay.

Télécharger le DOSSIER DE PRESSE :

__________________________________________________

Réservez vos places dès maintenant à la billetterie du Toursky au 0 820 300 033.
Attention : spectacle quasi complet !
Tarifs : de 3 euros (RSA) à 27 euros.
Un tarif spécial "Gyptis" > si vous appelez la billeterie du Toursky en donnant le mot de passe "Gyptis"
pour la réservation de ce spectacle, vous bénéficierez d'un tarif réduit à 16 euros.

CONTACT PRO : Compagnie TETRA ART (Marseille) 06 15 32 43 91 / cie.tetra.art@live.fr
Denis Attal, Président et Directeur de Production  - 06 21 43 46 80
Raymond Vinciguerra, Metteur en scène - 06 09 15 19 95
Marie-Laurence Cohen, administration.

 

Visite par Patrick MENNUCCI de la geôle de Jean ZAY au Fort Saint Nicolas à Marseille

Aquarelle du Haut Fort Saint-Nicolas.

Ce 18 octobre 2013 une délégation de membres de notre Association a été reçue sur le “Chantier d’Insertion et de Formation aux métiers du Patrimone” (ACTA VISTA) pour une visite du Fort d’Entrecasteaux (Haut Fort Saint-Nicolas), propriété cédée en décembre 2010 par l’Armée  à la Ville de Marseille,
 
en présence du Maire de secteur, Mr Patrick MENNUCCI, et de Mesdames Catherine Martin-ZAY et Hélène Mouchard-ZAY, les deux filles de Jean ZAY.
 
Le but de cette visite était de rendre hommage au Ministre du Front Populaire, Jean ZAY, qui fut incarcéré après un procès inique dans cette geôle de Vichy le 7 décembre 1940, et l’émotion était grande en parcourant ces lieux qui sont actuellement en voie de restauration.
 
La visite a permis de voir dans la cour Nord (accolées au Bastion du Roy et au Bastion Mazarin) les traces de construction de deux rangées de cellules, aujourd’hui démolies, dont l’une fut très probablement la première cellule de Jean Zay, exposée en plein Mistral.
 
Les visiteurs visitèrent également les cellules situées dans le Haut Fort, en écoutant la lecture de pages de son témoignage “Souvenirs et Solitude” qui étaient lues alternativement par Nicolas RIBOWSKI, réalisateur de films, et Jean-Jacques DIAS, Président du Souvenir Français de Pertuis.
 
Ces repérages (cour de promenade etc...) selon les témoignages  de Jean ZAY lui-même seront à rapprocher des relevés de graffitis laissés par les prisonniers. Des photos ont effectivement été relevées à l’instigation de l’historien Robert MENCHERINI – membre d’honneur de notre association – pour le compte du MUREL (“Musée virtuel de la Résistance en PACA 1940-1945 “).
 
Nous remercions Isabelle GUERIN, architecte du Patrimoine, qui a permis cette visite, et aussi Laure CISSOUMA responsable du mécénat et des relations partenaires, ainsi que Grégoire FRANC, chargé de développement de ce chantier d’insertion chez ACTA VISTA, qui nous ont guidés sur ce chantier.
 
Mais nous remercions surtout Monsieur Patrick MENNUCCI qui nous a fait l’honneur de partager ce moment de recueillement, tout en nous confirmant qu’il reste sensible à une ouverture de ce Fort Saint-Nicolas au public dans le futur, et à la mise en place d’un rappel matériel de l’incarcération de Jean ZAY en cet endroit pour rendre hommage à ce grand Ministre de l’Education Nationale et des Beaux-Arts, assassiné par la milice française le 20 juin 1944.

Aquarelle et plan du Haut Fort Saint-Nicolas

Catherine et Hélène ZAY et P. MENNUCCI

Traces des cellules dans la Cour Nord

Lecture par Nicolas RIBOWSKI et Jean-Jacques DIAS

Trois représentants de notre association

Identification des traces des cellules de prisonniers dans la cour nord du Fort d'Entrecasteaux (Haut Fort Saint-Nicolas)(photo JJ DIAS)

"Les Jours Heureux": quand l'utopie des Résistants devint réalité

Sortie nationale Mercredi 6 novembre 2013:
 
"Les Jours Heureux": quand l'utopie des Résistants devint réalité

Entre mai 1943 et mars 1944, sur le territoire français encore occupé, seize hommes appartenant à tous les partis politiques, tous les syndicats et tous les mouvements de résistance vont changer durablement le visage de la France. Ils vont rédiger le programme du Conseil National de la Résistance intitulé magnifiquement : « Les jours heureux ».

Ce programme est encore au cœur du système social français puisqu’il a donné naissance à la sécurité sociale, aux retraites par répartition, aux comités d’entreprises, etc.

 

L’actualité du film : Ce film est projeté dans 36 salles en France.

Voir le site de Telerama avec la BANDE ANNONCE du film: http://www.telerama.fr/cinema/films/les-jours-heureux,481775.php

 

SYNOPSIS

Entre mai 1943 et mars 1944, sur le territoire français encore occupé, le mouvement de résistance est en train de vivre un tournant. Appartenant à tous les partis politiques, tous les syndicats et tous les mouvements de lutte, seize hommes vont faire fi de leurs différences pour le bien de la future France libérée. Ensemble, ils mettent leurs idées en commun et rédigent le programme du Conseil National de la Résistance intitulé : « Les jours heureux ». Ce programme est, jusqu'à présent, resté ancré dans la société française : il a donné naissance à la sécurité sociale, aux retraites par répartition, aux comités d’entreprises...

LA CRITIQUE LORS DE LA SORTIE EN SALLE DU 06/11/2013

Création de la Sécu et du système de retraite par répartition : voilà quelques mesures adoptées, à la Libération, sur préconisation du Conseil national de la Résistance. Première partie passionnante : le documentariste Gilles Perret (De mémoires d'ouvriers) revient sur la genèse du CNR, en compagnie d'anciens résistants (Raymond Aubrac, téphane Hessel).

"La Marseillaise" clandestine en 1943 fête aujourd'hui ses 70 ans

"La Marseillaise" clandestine en 1943

C’est l’histoire d’une poignée d’insoumis qui, au nez de l’occupant, décide de prendre la parole. Pour faire vivre l’espoir de meilleurs lendemains et rester digne dans une France qui ne l’est plus. Trois ans plus tôt, le Maréchal Pétain et ses lieutenants de pacotille ont obtenu les pleins pouvoirs d’un parlement amputé de son bras gauche, le Parti Communiste, dissout pendant la drôle de guerre.

Après avoir suivi la ligne sinueuse de Moscou, le patriotisme de ses membres, devenus des clandestins pourchassés, a finalement repris le dessus. Partout, ils prennent des risques insensés pour rédiger des tracts appelant à la résistance, traquer ceux qu’ils appellent “les traîtres” afin de les juger devant des tribunaux populaires ou saboter, la nuit, les lignes de chemin de fer qu’ils ont construites sous la contrainte le jour.

En 1943, la presse est enchaînée, soumise et partisane de la folie d’Hitler. Officiellement. Car dans l’ombre, elle n’a jamais été aussi courageuse, nécessaire et humaniste. En 1943, Marseille en devient d’ailleurs le laboratoire. Alors que la rédaction de “Gringoire” y a posé ses rotatives pour mieux discriminer le juif depuis 1940, le 1er décembre 1943 paraît le premier numéro d’un journal à l’image de la ville. Rebelle, gouailleur, humaniste, partisan et parfois déroutant, La Marseillaise naît dans l’ombre pour apporter la lumière. Voyage au coeur de l’histoire d’un métier, d’une ville, d’un journal.

 

Le numéro de ce 1er décembre 2013 publie les informations suivantes:  

 

“La Marseillaise” s’est retrouvée en première ligne lors de l’insurrection finale en août 1944.

Le journal a été diffusé pour la première fois au grand jour le 24 août 1944,

notamment lors du défilé des troupes triomphantes sur le Vieux-port de Marseille.

ainsi que l’interview du Pr. Robert MENCHERINI:

"La Marseillaise" du 20 juin 1944 : DELPUECH ciblé

Le N° 7 parut le 20 juin 1944.
 
Après le débarquement de Normandie, et avant le débarquement de Provence, on pouvait y lire à propos du "maçonnisant Petit Provençal” :
 
"Monsieur Vincent DELPUECH utilise quotidiennement son torchon à injurier nos alliés Anglais Américains et Soviétiques, à encenser la Wafen S.S. ..."