Le festival de Cannes 2013 rend hommage à Jean Zay

 

C’est le le 23 mai prochain que va être inaugurée par Gilles Jacob, président du festival de Cannes, dans le foyer du grand auditorium du palais des festivals, une plaque en hommage à Jean Zay qui a bel et bien créé le festival de Cannes.

 
Pour l’histoire, cette manifestation a été créée car le festival de Venise était alors tombée sous la coupe des régimes totalitaires. Pour lutter contre cela, Jean Zay décida de créer un festival démocratique du 1er au 30 septembre 1939. Mais le 2 septembre de la même année la guerre mondiale est déclarée, et le festival est repoussé à la Libération.
 
Un événement n’arrivant jamais seul, Gilles Jacob, un sacré monsieur, viendra présider le banquet républicain du cercle des amis de Jean Zay le 13 juin prochain à Orléans.

Jean-Dominique Burtin.   http://www.magcentre.fr/le-festival-de-cannes-rend-hommage-a-jean-zay/ 

COMMUNIQUé “Femmes en Résistance”

Nous commençons ici la présentation de quelques livres sur la Résistance, écrits et vécus par des adhérentes ou correspondantes actives de notre Association, des femmes de notre région, à qui nous voulons rendre ici hommage.
 
Aujourd’hui: Un livre de reportages sobres de la Résistance menée par des femmes, notamment
en Provence
 
“Femmes en Résistance”
de Thérèse DUMONT et Simone PELISSIER
 
 
 
 
 
 
Vous pourrez vous procurer ce livre (paru en 1994) d’occasion sur Internet (épuisé chez Price Minister, disponible sur E-bay)
 
 
Nous vous transmettons ci-dessous la préface de Lucie AUBRAC (1912-2007) 

Préface de Lucie AUBRAC (1912-2007) en page 7.

Préface de Lucie AUBRAC (1912-2007) en page 8.

Cycle de conférences sur le camp des Milles

Le journal LA PROVENCE du 4 mai vous annonce dans l’article ci-joint un
 
Cycle de conférences sur le camp des Milles,
 
proposées par l’Université populaire du Pays d’Aix:
 
 
lundi 6 mai à 19 h à la Cité du Livre avec le psychologue Frédéric EWALD
 
lundi 13 mai à 19 h à la Cité du Livre avec Alain CHOURAQUI
 
mardi 14 mai à 19 h à la Fondation Vasarely avec l’historienne Isabelle PAZUELO
 
jeudi 23 mai à 19 h  à la Maison Méditerranéenne des Sciences de l’Homme avec le philosophe Xavier ROTH
 
vendredi 24 mai à 17 h 45: visite du Mémorial du camp des Milles (sur inscription en ligne)
 

Communiqué: Jean ZAY et Vincent DELPUECH ... celui qui croyait à la Résistance et celui qui n’y croyait pas.

Dans son ouvrage 
 L’affaire Jean ZAY, la République assassinée
(Calmann-Levy, 2013)
 
Gérard BOULANGER, défenseur des parties civiles dans l’affaire PAPON, présente une somme des éléments historiques les plus précis autour de Jean ZAY et son époque: depuis son élection dans le Loiret, ses années au Ministère de l’Education Nationale et des Beaux-Arts, son engagement volontaire au front, son départ avec Pierre MENDES-FRANCE sur le Massilia le 20 juin 1940 pour aller continuer la lutte en Afrique du Nord, jusqu’à son arrestation à Rabat le 15 août 1940 pour "abandon de poste et désertion en présence de l'ennemi", son passage à Marseille le 19 et son transfert le 20 à Clermont-Ferrand.
 
Après sa condamnation à la dégradation militaire et la déportation vers l’lle du Diable en Guyane ... son voyage s’arrêta cependant dans les geôles du Fort St Nicolas à Marseille (du 7 décembre 1940 au 7 janvier 1941), puis à la maison d’arrêt de Riom d’où il fut extrait par la Milice le 20 juin 1944 et assassiné dans un bois. 
 
 
Celui qui croyait à la Résistance et celui qui n’y croyait pas...
 
Dans son  livre Gérard BOULANGER fait allusion, page 314 (1ère édition), à une lettre que Jean ZAY a écrite (+) en arrivant la première fois le 19 août 1940 à Marseille “à l’insu de ses gardiens”, destinée “au journaliste et sénateur radical Vincent DELPUECH (*) patron du Petit Provençal”.
 
(+) Ce fait est en effet déjà signalé aux pages 231-232 du livre "Le dernier témoin. Fin d'une guerre, fin d'une république" (Presses de la Cité, 1968) de Charles POMARET qui fut "ministre de l'intérieur pendant la retraite des armées françaises et la négociation de l'armistice dont il fut un partisan déterminé".
 
Cette lettre, écrite par Jean ZAY, a permis la prise de contact avec son futur avocat Alexandre VARENNE. On ne connait pas la réponse éventuelle que Vincent DELPUECH a pu lui adresser.  
 
Gérard BOULANGER introduit ici une courte mais importante note concernant Vincent DELPUECH (+), maire radical du village de PEYNIER où le ministre radical Jean ZAY était venu inaugurer l’école Jean Jaurès le 2 juillet 1938:
 

Note de Gérard BOULANGER , juriste.

 
Cet extrait du livre de Gérard BOULANGER confirme bien que Vincent DELPUECH devint à l’automne 1940 administrateur de l’Oeuvre de Marcel DEAT (condamné à mort par contumace à la Libération), et que son journal “Le Petit Provençal” avait des relents nettement collaborationnistes.
 
Nous sommes fiers encore aujourd’hui d’avoir dévoilé ces faits en 2010 à la population du Pays d’Aix, repris sur les sites Internet suivants:
 
1°) Notre communiqué du 15 août 2010 “Un buste à lourd passif politique”:

http://cyril-dimeo.over-blog.com/article-burle-dans-ses-oeuvres-55510662.html

 
 
2°) Notre lettre du 31 août 2011 “La Libération: le cas Delpuech à Peynier’  pour apporter quelques précisions et témoignages sur le personnage de Vincent DELPUECH, fidèle partisan de Pierre LAVAL :
 
 
avec une présentation du dossier complet sur
 
(site citoyen désormais supprimé)
 
3°) Notre communiqué du 15 novembre 2011: “La Commune de PEYNIER jette l'éponge”
 
 
Nous restons vigilants pour la défense des valeurs républicaines. 

Du 8 au 26 mai: A Sète, la revanche par l'image

Exposition:
 
Des carnets des Tziganes sous Vichy aux portraits consentis pour témoigner de ce que furent les ténèbres, l'exposition peut se lire comme une revanche sur cette volonté de nier l'identité des personnes fichées.
 
MEDIAPART | Par Sophie Dufau
 
À qui s'adressent ces regards de haine, de terreur, de colère ? Ces très rares sourires, ou ces yeux déjà sans vie ? À l'Histoire qui défile dans la mémoire de ces visages ? Au fonctionnaire qui fait l'inventaire consciencieux de ces parias, de ces condamnés ? Avant cet ultime face-à-face, il n'y a sans doute pas eu de parole, plus vraisemblablement des injonctions.
 

Si dans les musées, la photographie est œuvre d'artiste ou de photo-reporter, elle a pourtant bien plus couramment le statut de document administratif. Et c'est toute la pertinence de l'exposition collective By numbers organisée par Christian Caujolle pour le festival ImageSingulières : sur les murs du chais des Moulins, à Sète, des centaines de clichés sans signature, des mètres linéaires de reproductions d'archives : carnets de circulation des Tsiganes, fiches des bagnards de Guyane, photos de condamnés du goulag et de martyrs des Khmers rouges. Des mètres linéaires de regards d'hommes et de femmes identifiés pour des besoins policiers à chaque fois bien définis.

L'exposition commence par les carnets de circulation des Tsiganes conservés aux archives de l'Hérault (remis à jour dans leur forme en 1969, ils ont été en partie abrogés fin 2012). Depuis 1907, la surveillance des Tsiganes nomades s'accompagnait de fichage anthropométrique : photo de face et de profil, empreintes des cinq doigts de la main, taille, poids, hauteur et largeur de la tête, longueur de l'oreille droite, du pied gauche…

Des portraits codifiés, normalisés, à dessein judiciaire mais aussi scientifique. Les mesures systématiques que le préfet Bertillon mit au point en 1883 et exporta dans le monde entier coïncidaient avec les travaux d'anatomistes cherchant des invariants raciaux.

Des mètres de visages où l'on peut immédiatement apparenter un père et son fils grâce à un port de tête, une implantation des cheveux. Où l'on est saisi par la présence d'un enfant, si jeune qu'il ne tient sans doute pas debout puisque l'on aperçoit le dossier de la chaise derrière lui ; qu'il ne tient sans doute pas en place puisque son profil est un peu flou : un bébé photographié pendant l'Occupation par un fonctionnaire de Vichy.

Alors qu'auparavant, les enfants figuraient sur le carnet de circulation de leurs parents, les autorités allemandes firent établir des fiches pour tous les Tsiganes afin de préparer leur départ en camp d'extermination. Les enfants eurent leur fiche individuelle, les droits communs et les politiques suivirent : un « employé de commerce, voleur » (photographié avec sa cravate) côtoie une «prostituée» qui précède un «anarchiste».

la revanche par l'image (suite)

Archives nationale d'Outre-mer

Des archives départementales de l'Hérault, l'exposition se poursuit avec les archives nationales d'outre-mer. Réunies à Aix-en-Provence, elles contiennent toute l'histoire des bagnes coloniaux depuis l'arrivée des premiers vaisseaux jusqu'à l'évacuation finale.

Celles exposées ici se concentrent sur les bagnes de Guyane. Toujours ces mêmes photos de face et de profil. Toujours les mêmes mesures. Et l'Histoire se découvre au fil des précisions : on n'y voit que des hommes, souvent nés dans le départementd'«Alger » ou de « Constantine » et quelques-uns, que la France coloniale identifie comme « annamites », enfermés ici pour vol, viol, meurtre, et aussi « refus d'obéissance ».

 

la revanche par l'image (suite)

Les photos des condamnés à mort extraites du livre La grande Terreur en URSSde Tomasz Kizny sont tirées de documents nettement moins bavards.

Juste un portrait de face.

Prises avant l'exécution (et non après l'arrestation), elles n'avaient qu'une seule fonction: s'assurer que les bourreaux abattent bien la bonne personne. En quatorze mois, entre 1936 et 1937, plus d'1,2 million de personnes furent arrêtées en URSS et 750000 fusillées. Les légendes qui accompagnent ces quelque 70 photos livrent toutes un nom, une date de naissance, une profession ou qualification et la date de la réhabilitation (entre 1956 et 1992). L'un d'entre eux a à peine 16 ans.

la revanche par l'image (suite) : Le mur du génocide

Le mur consacré au musée du génocide S-21 © Nicolas Moulard / ImageSingulières

 

Quarante ans plus tard, au Cambodge, même objectivation. Au camp S-21, entre 1975 et 1979, les Khmers rouges ont envoyé 15000 personnes. Seules 8 en sont sorties. À son arrivée au camp, chacun se voit passer autour du coup une pancarte avec un numéro. Chaque matin, le photographe commençait par le numéro 1. Certains jours, il finissait sa journée à 400 et plus. Cette machine systématique ne peut faire disparaître complètement les signes de vie. Les prisonniers arrivaient par camion, les yeux bandés, avant d'être placés face au photographe. Beaucoup sont effrayés, terrorisés, l'un a le visage en sang, la bouche éclatée. D'autres sont presque interrogatifs, incrédules. L'un d'eux sourit.

 

Au centre de ce dispositif, effrayant par sa banale cruauté, le recensement des Indiens Yanomâmi en Amazonie. Là encore, des portraits avec une petite pancarte portant un numéro. Mais ces photos-là sont cadrées, la prise de vue tient compte de la lumière, les enfants peuvent tenir la main de l'adulte qui les accompagne ou même rester dans ses bras. Il y a de l'empathie.

 

la revanche par l'image (suite): Indiens Yanomâmi

Les Indiens Yanomâmi© Claudia Andujar

Ce travail est signé Claudia Andujar, photographe suisse qui, pour suivre l'évolution sanitaire de cette communauté condamnée par les maladies de l'homme blanc, décide d'en faire l'inventaire. «C'est le seul exemple que nous ayons trouvé de personnes numérotées au moment où on allait les photographier afin de les sauver et non de les détruire», explique Christian Caujolle.

la revanche par l'image (suite):

Léo Luster, 82 ans© Uriel Sinai

« C'est une médaille »

 

Enfin, l'exposition s'achève par un manifeste photographique : le reportage d'Uriel Sinai, Numbered, réalisé en 2012. Des portraits de juifs rescapés d'Auschwitz, qui ont gardé le numéro tatoué sur l'avant-bras, apposé pour seule identité à ceux qui n'étaient pas condamnés à une exécution immédiate. Certains posent avec leurs petits-enfants, qui ont voulu faire encrer sur leur peau le matricule de déporté attribué à leur grand-parent, un phénomène controversé en Israël.

 

 

Mais ce numéro, explique Léo Luster, 82 ans survivant de l'extermination, «pour moi, ce n'est pas une cicatrice. C'est une médaille. Pourquoi devrais-je en avoir honte ?».

 

Des carnets des Tziganes sous Vichy aux portraits consentis pour témoigner de ce que furent les ténèbres, l'exposition peut se lire comme une revanche sur cette volonté de nier l'identité des personnes fichées. Et celle des photographes qui prirent les clichés.

 

 

27 et 28 mai à Salon-de-Provence: 70èmes anniversaires du Conseil national de la Résistance et de la mort de Jean Moulin

Sous le haut patronage de M. le ministre de l'Education nationale
et de M. le ministre délégué à la Défense et aux Anciens combattants,
 
le Comité régional du Mémorial Jean MOULIN organise
 
avec la Fondation de la France libre et Mémoire et Espoirs de la Résistance        
 

“Cérémonie et Colloque marquant les

70èmes anniversaires du Conseil national de la Résistance

et de la mort de Jean Moulin.”

1. Lundi 27 mai 2013, 21h00au Mémorial Jean-Moulin de Salon :                              CEREMONIE solennelle à la mémoire de Jean Moulin en présence des plus hautes autorités civiles et militaires, des associations patriotiques et de leur drapeau, de scolaires et du public.

2. Mardi 28 mai 2013, de 9h à 17h30, à l'Espace Charles-Trenet, 17 - 89 bd Aristide-Briand - 13300 Salon-de-Provence, au centre ville

Grand COLLOQUE des 70èmes anniversaires du C.N.R. et de la disparition de Jean Moulin, ouvert à 9h50 par M. le maire de Salon-de-Provence et M. le Recteur de l'académie d'Aix-Marseille, en présence de 800 collégiens et lycéens de Provence et de leurs professeurs.

Dès 9h (galeries de l'Atrium), expositions * : "Le programme du CNR" et "Jean Moulin, un héros moderne" ; table de livres avec la librairie de Salon "La portée des mots"

10h-12h (Espace Trenet) : conférence sur le Conseil national de la Résistance avec le Dr François-Yves Guillin, qui fut le secrétaire du Gl Delestraint, Pierre Morel, ancien du S.O.E., président du Comité d'action de la Résistance ; et les historiens Christine Levisse-Touzé, Jean-Marie Guillon, Robert Mencherini, François Berriot et Thomas Rabino.    Entrée dans la salle dès 9h45/50 (impératif)

12h -13h30 (galeries de l'Atrium) : plateaux repas, visite des expositions *, vente d'affiches, statuettes, etc., table de livres avec la librairie de Salon "La portée des mots".

13h30-15h30 (Espace Trenet) : conférence sur la tragédie de Caluire, le martyre et la mort de Jean Moulin,avec leDr François-Yves Guillin, qui fut le secrétaire du Gl Delestraint, Pierre Morel, ancien du S.O.E., président du Comité d'action de la Résistance  et les historiens Christine Levisse-Touzé, Jean-Marie Guillon, Robert Mencherini, François Berriot et Thomas Rabino.     

15h30-17h30 (galeries de l'Atrium) : expositions *, table de livres, dédicaces des auteurs.

15h30-16h50 (grande salle - ENTREE LIBRE) : projection du film "Faire quelque chose " de Vincent Goubet : émouvants témoignages des acteurs et témoins de ces années sombres (Stéphane Hessel, R. Chambeiron, Raymond Aubrac, Lise London, Serge Ravanel, Raymond Lévy, etc.). http://cooperativedhr.fr/FQCinsitu/

INVITATION 1er juin à AIX: Gérard BOULANGER, avocat au procès PAPON, présente son livre "L'Affaire Jean ZAY"

La fédération départementale de la Libre Pensée (13)
Le groupe “Gavroche / Francisco Ferrer” de la Libre Pensée d’Aix-en-Provence
avec le soutien de l’ « Association Jean ZAY en Provence – Pédagogie, Mémoire et Histoire »
 
vous invitent 

Samedi 1er juin 2013 à 15h

Maison Méditerranéenne des Sciences de l'Homme

5, rue du château de l'horloge

13100 Aix en Provence

C’est un avocat, élu du Front de Gauche au Conseil Régional d’Aquitaine,
Gérard Boulanger*
qui viendra à Aix-en-Provence nous parler Samedi 1er juin 2013 à 15h

de son livre

“L'Affaire Jean Zay : La République assassinée” ** 

Rencontre-débat avec l’auteur

Entrée libre & pot fraternel offert

*Nota : Présentation Gérard Boulanger

-Avocat : Il fut à l'initiative de la procédure judiciaire engagée contre Maurice PAPON.

-Militant des Droits de l'Homme (ex  président de la fédération de Gironde LDH33 et actuel président de la section LDH de Bordeaux)

-Essayiste : a publié trois ouvrages sur l'affaire PAPON: - "Maurice Papon: un technocrate français dans la collaboration" (Seuil, 1993) - "Papon, un intrus dans la République" (Seuil, 1997) - "Plaidoyer pour quelques juifs obscurs victimes de Monsieur Papon" (Calmann Lévy, 2005).
A publie "A mort la gueuse! Analyse des dernières journées de la IIIe République à travers l'installation de Pétain à Bordeaux les 15, 16 et 17 juin 1940" ( Calmann Lévy).
Il a également écrit "Le juif Mendès France, une généalogie de l'antisémitisme" (Calmann Lévy, 2007).

- Conseiller régional d’Aquitaine

**Jean ZAY : Ancien ministre du gouvernement de front populaire, fut en charge de l’Éducation Nationale et de la Culture de juin 1936 à septembre 1939, grand défenseur de l’école publique et laïque (a l’origine des circulaires Jean Zay 31 décembre 1936 & 15 mai 1937 interdisant le port de signes politiques et religieux dans les écoles publiques), résistant, condamné à la déportation par le tribunal militaire de Clermont-Ferrand aux ordres de Vichy, emprisonné à Riom jusqu’au 20 juin 1944 où des miliciens français viennent l’arracher à sa prison pour l’abattre dans un bois. 

Samedi 1er juin à 15h: “L'Affaire Jean Zay : La République assassinée”

Article publié par La Provence le 27 mai 2013.

Samedi 1er juin 2013 à 15h

Maison Méditerranéenne des Sciences de l'Homme

5, rue du château de l'horloge

13100 Aix en Provence

 

Présentation du livre

“L'Affaire Jean Zay : La République assassinée”

 

Rencontre-débat

avec l’auteur

Gérard Boulanger

Entrée libre & pot fraternel offert

Renseignements: 06.17.98.33.27

Mail: federation@lp-13.org

25 et 26 mai sur FR3: "Alias Caracalla, au coeur de la Résistance"

"Alias Caracalla, au cœur de la résistance", le film
 
Ce film en deux parties de 90 minutes sera diffusé sur France 3 les 25 et 26 mai à 20h45.

Réalisé par Alain Tasma, l'histoire est tirée du livre éponyme de Daniel Cordier (Editions Gallimard, 2009).

 

 

Bref synopsis lu dans "Allo-Ciné” (pas trop exact pour qui a lu le livre...):