Maquis de Saint ANTONIN: cérémonie du 16 juin, Exposition, Conférence MENCHERINI

Nous vous convions à participer
 
- à la cérémonie qui aura lieu en présence du dernier survivant, Raymond CAMUS, le mercredi 16 juin 2010 à 17h30  à Saint-Antonin-sur-Bayon, au pied de la Ste Victoire, en mémoire des 13 maquisards du maquis de Saint-Antonin, fusillés le 16 juin 1944, morts pour la France, 
 
- et à l'exposition "La Résistance en Pays d'Aix" à la Maison Saint-Victoire (du 16 au 30 juin).
 
La cérémonie sera suivie à 18h30 d'une conférence du Professeur Robert MENCHERINI "Le sens du combat des résistants"

Article paru dans LA Marseillaise du 24 juin 2010

Appel du 18 juin: La France libre est définitivement entrée dans l'histoire

Général de Gaulle
(photo E. Misguich).

1940, l'histoire recommencée

COMMUNIQUE DE PRESSE: dans le cadre du travail de mémoire.

Au Collège de ROUSSET:

L' « Association Jean ZAY en Provence – Pédagogie, Mémoire et Histoire » travaille au devoir de mémoire avec les professeurs d'Histoire du Collège de ROUSSET, et organise ce jeudi 17 juin 2010 une action pédagogique dans le cadre de leur cours d'Histoire, avec le concours de différents présidents d'associations d'Anciens Combattants:

  • ·        Madame Marie-Thérèse BRUN-CLAVERIE, président de l' Association Nationale des Anciens Combattants et Amis de la Résistance – A.N.A.C.R.  Aix-Pays d’Aix ,
  • ·        Monsieur Pierre ARBORE, président de l' Union Française des Associations de Combattants et Victimes de Guerre - Union Locale d'Aix-en-Provence
  • ·        Messieurs Sabin CHIARIELLO, président, et Amédée BUIX, vice-président de l' Association des Anciens Combattants de Trets

Cette action commune va spécialement en direction des jeunes pour la transmission de la mémoire et des valeurs de la Résistance.

Cette séance sera ouverte à 8 heures par Mr. Jean-Louis CANAL, maire de Rousset, vice-président du Conseil Régional, vice-président de la CPA et de Mr. Roger TASSY, Conseiller général. Adresse: Collège de Rousset, v Chemin Départemental 56, Tel: 04 42 29 00 40

Une brève introduction d'un film sur Jean ZAY sera présentées par Mr. Norbert BERNARD, adjoint délégué à la Culture et au Patrimoine. L'histoire et l'œuvre de ce grand ministre sera présentée dans le film "Dans la lumière de Jean Zay" (film FR3 de 25 min par Marieke Aucante, grand reporter, chevalier de la Légion d'Honneur) et discutée ensuite au travers de questions situant l'homme dans son contexte: député radical, artisan du Front Populaire (1936-1938), réformateur de l'école, en lien avec les grandes lois sociales de juin 1936, la guerre, son engagement en 1939, la défaite, le prisonnier du gouvernement de Vichy.

Par ailleurs deux expositions auront été présentées pendant deux semaines dans la bibliothèque du Collège par l'ANACR-Aix:  "Jean MOULIN" et "Résistance marseillaise"

L'essentiel de la matinée consistera en une rencontre entre les élèves de 3ème et un certain nombre de Résistants, Anciens Combattants du Débarquement de Provence, témoins et acteurs de la Résistance et de la Déportation, avec qui les élèves pourront discuter et leur poser des questions en petits ateliers.

Ont été conviés:

- pour la guerre et le Débarquement de Provence:

                   Madame Colette ESCOFFIER, Mr. Joe RONSMANS-DAVRAY, Mr. René HADDAD-PARFAIT, Mr. Jean ABRAHAM

- pour la vie quotidienne pendant la guerre:

                   Madame VAUDANO-BASTARD, Mr. Sabin CHIARIELLO, Mr. Amédée BUIX

- pour l’engagement dans la résistance:

                  Mr. Raymond CAMUS, Mr. Pierre GABART, Mr. Jean-Paul MARCADET, lieutenant F.F.I. Colonel de réserve honoraire.

Pour l' « Association Jean ZAY en Provence – Pédagogie, Mémoire et Histoire »   

Jacques MISGUICH, Président

Article paru le 30 juin 2010 dans La Provence, relatant cette matinée du 17 juin au collège de Rousset où a été présenté le film "Dans la lumière de Jean Zay" (film de Marieke Aucante, grand reporter, chevalier de la Légion d'Honneur) et où les élèves de 3ème ont pu dialoguer avec des témoins et acteurs de la Résistance dans notre région.

18 juillet 2010 : La nécropole nationale de Signes (Var)

La nécropole nationale de Signes
ou charnier de Signes (Var)
 
1944.
Les actions des Résistants qui attendent depuis des mois le débarquement des forces alliées se multiplient. Un officier français aurait trahi les 38 martyrs du Charnier de Signes, tous issus du Mouvement uni de la résistance, pour quelques milliers d’anciens francs. Incarcérés aux Baumettes, ils furent interrogés et torturés.
  • Le 18 juillet 1944, un jeune garçon, Joseph Call, dont les parents travaillent dans la forêt, aperçoit un car déposer 29 prisonniers encadrés par les Allemands. Un bûcheron de Cuges, Maurice Percivalle, passant aussi par là, entend au loin La Marseillaise. Il voit les hommes creuser leurs propres tombes. Le 12 août, neuf autres résistants furent fusillés sur le même site. Mais pourquoi ont-ils été emmenés dans ce vallon ?
     
  • Raymond Aubrac, alors commissaire de la République de la région – premier signataire de la pétition pour la réhabilitation de la Nécropole de Signes – a fait exhumer les corps. « Certains portaient des marques de strangulation, signes de tortures antérieures  ; des corps ont été recouverts de chaux vive. D’autres ont été enterrés vivants« . Les familles ont dû reconnaître les corps mutilés au Pharo où ils furent transportés avant d’être inhumés à Saint-Pierre au cours d’un hommage républicain ; cinq d’entre eux n’ont jamais été identifiés.
     
     
     
    Invitation à la cérémonie du 18 juillet 2010 à 18 h au Vallon des Fusillés
    par l' Association régionale des familles de fusillés et martyrs de Signes et de Provence
             Maison du Combattant - 50 Bd de la Corderie - 13007 Marseille
     
    voir: Site de l'ANACR-Marseille:

           http://www.resistancemarseillaise-r2.fr/articles.php?lng=fr&pg=523

18 juillet: Mémoire des victimes de crimes racistes de l'Etat de Vichy

Le 18 juillet une journée nationale est dédiée au souvenir des victimes de crimes racistes  et antisémites perpétrés par les complices français de l'envahisseur nazi.
 
Ci-contre et ci-dessous: Cérémonies à Marseille et au camp des Milles

Article du 19 juin 2010 paru dans La Marseillaise.

Article paru le 18 juillet 2010 dans La Marseillaise.

Débarquement de Provence - Cérémonie Libération de Trets vendredi 25 août 2010

Le débarquement de Provence : Anvil-Dragoon
 
Ce débarquement sur les côtes de la Provence fut extrêmement critiqué, particulièrement par Winston Churchill qui souhaitait attaquer les Allemands à partir des Balkans. En débarquant dans le midi de la France, les Alliés n'ont pu exploiter les victoires remporter sur le front d'Italie et ont renoncé à exercer une menace sur le flanc sud de l'Allemagne. Ce débarquement monopolisa 5 cuirassés, 10 Porte-avions, 25 croiseurs, 109 torpilleurs et escorteurs ainsi que 1 900 appareils de bombardement et de chasse, dont 200 embarqués.
 
Les forces de débarquement comportaient 1 corps d'armée à 3 divisions d'infanterie américaine et une division aéroportée anglo-américaine, l'armée française étaient composée de 2 divisions blindées et 5 d'infanterie, plus de nombreux corps francs de choc et commandos.
 
Le débarquement de la 7ème armée américaine du général Patch, le 15 août, fut précédé dans la nuit du largage de la 1ère division aéroportée du général Frederick ainsi que du débarquement du groupe naval d'assaut Français, du groupe français de commandos d'Afrique et des commandos américains et canadiens. Les Français du premier échelon, au nombre de 16 000, débarquèrent le 16 août.
 
De Lattre décida d'attaquer en même temps Toulon et Marseille. En deux jours, Toulon fut investi.
 
En 11 jours, toute la côte fut conquise jusqu'au Rhône. Deux divisions allemandes furent détruites, 37 000 prisonniers furent faits. Les Français eurent 4 000 tués ou blessés soit le quart des forces débarquées.
 
En tout, 500 000 soldats débarquèrent sur ces plages avant la fin du mois d'août. Partout, les forces allemandes étaient en retraite, se vengeant parfois sur les poplulations civiles. S'en suivit une longue chevauchée de 750 kilomètres. Le 3 septembre, le Rhône fut franchi à l'est de Lyon. Le 12 septembre, la liaison fut prise avec l'armée de Patton et avec la 2ème DB de Leclerc qui eu la chance de libérer Paris. Le 13, Langres était repris. Cette avance prodigieuse fut réalisée malgré des difficultés logistiques grandissantes et retardée par des destructions importantes effectuées par les Allemands en retraite.
 

Août 2010 : Une initiative du maire de PEYNIER

Carton d'invitation distribué par la Mairie de Peynier.

Qui était Vincent DELPUECH ?

Verso du carton d'invitation distribué par la Mairie de Peynier.

Il n'était pas seulement l'homme trop succinctement décrit sur le carton d'invitation à la cérémonie, et certainement pas "maire de Peynier de 1934 à 1965", ni sénateur "jusqu'à sa mort".

Alors cela valut la peine de rechercher des informations, et de les diffuser.

A la mi-août nous avons distribué le tract suivant dans les boites aux lettres, en concluant que les actes et les écrits de Vincent DELPUECH ne valaient certainement pas qu'on lui élève une statue : 

20 août 2010, la Marseillaise titre : « Un buste pour l’ancien maire controversé Vincent Delpuech »

Article publié par La Marseillaise le 20 août 2010

3 septembre : Le maire de Marseille Jean-Claude Gaudin appelé à renoncer à un hommage controversé

Plusieurs appels furent adressés par ses collègues au Sénateur-Maire de Marseille pour qu'il renonce à cetten inauguration.

Le journal MARSACTU publie l'article ci-dessous le 3 septembre 2010

Julien Vinzent

3 septembre 2010

 

Vincent Delpuech, ça vous dit quelque chose ? Voici le « CV » dressé par la mairie de Peynier dans le cadre de l’inauguration d’un buste à son effigie, samedi au boulodrome municipal: « né le 5 avril 1888. Journaliste et homme politique Français. Maire de Peynier de 1934 à 1965. Sénateur des Bouches du Rhône de 1939 jusqu’à sa mort en 1966″. Voilà. Le site internet précise également qu’aux côtés de son homologue UMP Christian Burle, on trouverait Jean-Claude Gaudin, maire de Marseille et vice-président du Sénat, s’il vous plait.

 

Le service de presse de la mairie phocéenne est plus précis dans le communiqué annonçant le déplacement : « journaliste, puis directeur du Petit Provençal, Vincent Delpuech donne un nouveau souffle au journal en multipliant les pages spéciales sur le sport, la culture, faisant du quotidien l’un des plus importants supports de presse du Sud-Est de la France dans l’entre deux guerre. Sénateur, et homme politique de terrain il a été le premier a jeter les bases de l’intercommunalité dans l’Est du département. »

 

Double jeu

 

Incomplet pour l’association « Jean Zay en Provence – Pédagogie, Mémoire et Histoire », qui compte dans son conseil scientifique Raymond Aubrac, grand résistant et commissaire de la République à Marseille à la Libération…  »Vincent Delpuech n’a plus été maire de Peynier pendant 8 ans, entre 1945 et 1953. En effet, après les années noires de l’occupation pendant lesquelles Vincent Delpuech était maire de Peynier, grand ami de Pierre Laval, journaliste, administrateur de plusieurs journaux dont « Le Petit Provençal » et  » L’Œuvre » de Marcel Déat (à l’origine du RNP, parti collaborationniste, ndlr) », il s’est vu retirer ses mandats, puis son éligibilité par un jury d’honneur.

 

Face à ce « torchon distribué dans [sa] commune », Christian Burle renvoie à la révision du jugement un an plus tard. « Considérant que les documents et témoignages apportés par l’intéressé à l’appui des faits nouveaux invoqués par lui apportent la preuve de sa participation personnelle, continue et substantielle à la Résistance« , le président du jury René Cassin estime qu’ils permettent de « compenser le fait d’avoir été pendant l’occupation administrateur de journaux, fait qui continue à figurer à son passif sur le plan politique« . Pour résumer : puisqu’il était résistant, Vincent Delpuech ne pouvait être collabo.

 

Des courriers de protestation envoyés

 

D’ailleurs, « personne ne s’est ému quand on a inauguré sous Gaston Defferre un boulevard à son nom à Marseille« , ajoute Christian Burle. « Nous ne contestons pas ce qui a déjà été fait. C’est le fruit d’une époque où les choses étaient très différentes. Mais l’actualité, c’est que le maire inaugure un buste 44 ans après sa mort« , répond Marie-Nicole Payet, trésorière de la structure. Cap 21 des Bouches-du-Rhône a embrayé le pas, protestant « vigoureusement contre cette dérive dans le traitement de l’histoire. » Sur le blog de l’élu à la communauté urbaine Jacques Boulesteix (groupe Faire Gagner Marseille), qui reprend l’affaire, les commentaires vont bon train, décortiquant avec précision le passé de Vincent Delpuech.

 

De quoi donner du poids à l’argument de Marie-Nicole Payet : « une statue, c’est hautement symbolique. Il est beaucoup trop ambivalent pour faire l’unanimité, il y a bien d’autres choses à faire que cela » .  »Je n’ai jamais dit que cela ferait l’unanimité, je faisais cela par rapport à tout ce qu’il a fait pour la commune. Ce n’est pas tous les jours qu’on a un sénateur à Peynier » , balaye le maire. Et Jean-Claude Gaudin ? Lui qui était l’ami de Vincent Delpuech n’a pas réagi à la polémique, bien que « des courriers l’invitant à ne pas y aller » ont été envoyés assure Marie-Nicole Payet. « On pense que le Sénat actuel ne sera pas honoré » par sa présence, conclut-elle.Sauf que d’après Christian Burle, la famille de Vincent Delpuech envisage de porter plainte pour diffamation et « si elle le fait, je pense que la mairie de Peynier et le Sénat iront dans le même sens » , prévient-il.


Avenue de la Garenne, 13790 Peynier, France

4 septembre à Peynier: le buste de Vincent Delpuech a été inauguré.

Le buste de Vincent Delpuech a donc été inauguré le 4 septembre 2010ce que nous déplorons compte tenu du "passif politique" du personnage, attesté par le jugement du Jury d'Honneur publié par René CASSIN en 1946.
 
Cette inauguration s'est déroulée dans le calme, en notre absence, devant un public extrêmement réduit .
 
Notre rôle s'est limité à une information préalable de notre réseau dès le 15 août, ainsi que de la population de Peynier par voie de tracts distribués dans toutes les boîtes aux lettres du village de Peynier mais aussi dans les villages voisins de Rousset, Trets et Fuveau.
 
Plusieurs sénateurs, conseillers généraux et élus ont été informés. Certains ont écrit à Jean-Claude Gaudin pour essayer de le dissuader de participer à cette tentative de réhabilitation qui n'était pas en l'honneur de Sénat.
 
Suite à la diffusion de l'information, les réactions des médias (presse, radios et télévision) ont été instantanées et nombreuses, de même pour les blogs (voir plus bas).
 
Il semble que le maire de Peynier ait été très ulcéré du retentissement de cette affaire et promette de nous assigner en Justice, bien que l'information diffusée ait été entièrement confirmée et officielle (publiée au J.O.)
 
Nous vous tiendrons informé, si nécessaire ...
 
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Publications dans la presse et sur Internet:  
 
"Un buste pour l'ancien maire controversé Vincent Delpuech" (La Marseillaise le 20 août 2010)http://www.tretsvrai.fr/echos_10_08/la_mars_20_buste_peynier.jpg
 
"Un buste fait polémique" (La Provence du 31 août 2010).
 
"Peynier: le buste de Vincent Delpuech réveille les douleurs de l'histoire" (La Provence le 5 septembre 2010)
 
"Une droite aux abois qui plonge dans le révisionnisme" (La Marseillaise le 8 septembre 2010).
 
 Les principales contributions parues sur Internet sont les suivantes:
 

Cyril Di Méo (5 mai 2008) "Burle réussira-t-il à installer une statue pour Vincent Delpuech ancien collabo ?" http://cyril-dimeo.over-blog.com/article-19299657.html

Cyril Di Méo (16 aout 2010) "Burle dans ses oeuvres" http://cyril-dimeo.over-blog.com/article-burle-dans-ses-oeuvres-55510662.html

Nicolas BLANC (16 août 2010) "Peynier: quand Christian Burle rend hommage à un collabo..." http://nicolasblanc.blogspot.com/2010/08/peynier-quand-christian-burle-rend.html

Achim GERTZ (17 aout 2010): "Christian Burle honore un maire plus que douteux"http://a.gertz.over-blog.com/article-christian-burle-honore-un-maire-plus-que-douteux-55561330.html

CAP 21 (17 août 2010) "CAP21 des Bouches-du-Rhône partage l'indignation de l'association Jen Zay en Provence" http://cap21.13.over-blog.com/article-cap21-des-bouches-du-rhone-partage-l-indignation-de-l-association-jean-zay-en-provence-55559163-comments.html

Jacques BOULESTEIX (1er septembre 2010 et nombreuses contributions ultérieures): "Gaudin va-t-il honorer un collaborateur ?" http://boulesteix.blog.lemonde.fr/2010/09/01/gaudin-va-t-il-honorer-un-collaborateur/

Julien VINZENT - MARSACTU  (3 septembre 2010) "Le maire de Marseille Jean-Claude Gaudin appelé à renoncer à un hommage controversé" http://www.marsactu.fr/2010/09/03/le-maire-de-marseille-jean-claude-gaudin-appele-a-renoncer-a-un-hommage-controverse/

L' HUMANITE (4 septembre 2010):  "Quand Gaudin préfère honorer un collaborateur" http://humanite.fr/03_09_2010-quand-gaudin-pr%C3%A9f%C3%A8re-honorer-un-collaborateur-452824 repris sur http://bellaciao.org/fr/spip.php?article105891 "L'UMP rêve de Vichy"

LA PROVENCE (5 septembre 2010): "Peynier: le buste de Vincent Delpuech réveille les douleurs de l'histoire" http://www.laprovence.com/article/region/peynier-le-buste-de-vincent-delpuech-reveille-les-douleurs-de-lhistoire

France 3 - Info Provence Alpes  Muriel Gensse (5 septembre 2010): "Peynier (13): un buste polémique" (vidéo) http://mediterranee.france3.fr/info/provence-alpes/peynier13--un-buste-polemique-64698983.html

Achim GERTZ (6 septembre 2010) "Ca y est, Vincent Delpuech  a sa statue à Peynier" http://a.gertz.over-blog.com/article-a-y-est-vincent-delpuech-a-sa-statue-a-peynier-56618612.html

repris sur le Réseau Eco-Démocrate:  http://ecodem.cc/index.php?tri=month&search=v+DElpuech

Blog Castronovo(15 septembre 2010): "Droite extrême: Joissains, Gaudin et leurs copains" http://castronovo.canalblog.com/archives/2010/09/15/19066424.html 

ainsi que sur le Blog "Trets-vrai" : http://www.tretsvrai.fr/echos_vallee.html

18 septembre 2010 : Journée du Patrimoine - Ouverture du wagon souvenir du camps des Milles

Article paru dans La Marseillaise du 17 septembre 2010.

Les Camps de nomades de l' "Etat français"

Article publié dans le "Journal de la Résistance" - ANACR (juillet-août 2010).

Sur ce sujet, voir  aussi
 
le livre 
"Les camps d’internement en Provence"
par Robert MENCHERINI (2009)
             
et
"Un camp pour les Tsiganes, Saliers (Bouches-du-Rhône) 1942-1944" 
A Auschwitz, 4 000 Tsiganes étaient exterminés dans la seule nuit du 1er août 1944.

Stephane HESSEL bientôt à Aix-en-Provence

Titre dans La Provence du 1er octobre 2010?

Article dans La Provence du 1er octobre 2010